Brazzaville, la capitale congolaise, abrite, du 24 au 29 mars 2023, la 39ème conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie (Confejes), avec la participation de 43 délégations venues des pays francophones du monde, autour du ministre en charge de la jeunesse et des sports, Hugues Ngouélondélé. Ce dernier a d’ailleurs lancé mardi 21 mars, les travaux du comité de pilotage du projet d’appui à l’intégration de la jeunesse au développement national, appelé «Youth connekt», réalisé en partenariat avec les agences du système des Nations unies. Avec la rencontre de Brazzaville, la jeunesse est à l’honneur et les gouvernements des pays francophones voient dans son dynamisme, un atout pour la relance de leurs économies, après la redoutable pandémie de covid-19 qui a affecté la planète.

C’est à Ouagadougou (Burkina-Faso) que le choix de Brazzaville avait été fait d’abriter la 39ème conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie (Confejes). Dans la capitale congolaise, tout a commencé, mercredi 22 mars, par le symposium international présidé par Mme Louisette-Renée Thobi, secrétaire générale de la Confejes, sous le thème principal de la conférence: «La jeunesse, le sport et le loisir, facteurs de relance post-covid-19 en faveur du développement durable».

La photo de famille, à l’issue de la cérémonie d’ouverture.
La photo de famille, à l’issue de la cérémonie d’ouverture.

«Effectivement, après 50 ans d’existence et les leçons apprises de la crise sanitaire, il nous est nécessaire d’engager une réflexion inclusive et approfondie sur l’avenir de la Confejes, à travers une thématique de portée stratégique. Aujourd’hui, il s’impose à la Confejes de mettre en œuvre des actions ambitieuses, fédératrices et efficaces si elle veut faire œuvre utile dans les décennies à venir. Vous conviendrez avec moi que l’exercice n’est pas facile, car le présent symposium est unique dans son genre, dans l’histoire de la Confejes. C’est au nom de cette nouvelle vision de la façon dont doit agir la Confejes que j’ai souhaité organiser ce rendez-vous avec l’histoire, sous la formation que vous savez, c’est-à-dire par un dialogue entre les hauts- responsables des ministères, des experts de renom et des chercheurs confirmés. Je suis persuadée que le dialogue entre la politique, l’expertise professionnelle et la science est une stratégie gagnante dans les situations complexes. Ils doivent échanger, se connaître et comprendre», a dit Mme Thobi, dans son mot de circonstance.
Le programme prévoit qu’après le symposium, il y a des réunions qui vont se tenir, notamment celle de la commission administrative et financière et celle des experts. La conférence ministérielle interviendra ensuite.

Luze Ernest BAKALA

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