Les femmes secouristes et humanitaires de la C.r.c (Croix-Rouge congolaise) ont célébré la journée internationale des droits des femmes, lors d’une rencontre, mercredi 8 mars 2023, à la Direction départementale de leur mouvement, dans le quatrième arrondissement, Moungali, à Brazzaville, en présence du président départemental, Innocent Jean-Roger Mallanda, du secrétaire général, Jean-Baptiste Nganga, de la présidente de la commission genre, Mme Jacqueline Nzenza née Ndombi, et des membres des conseils d’arrondissement, sans oublier les apprenantes aux métiers de secourisme et métiers associés.

Les femmes secouristes et humanitaires de la C.r.c ont placé la journée des droits des femmes sous le thème: «Femmes, protégeons-nous contre les violences en ligne, avec la loi Mouébara». Un thème choisi en référence à celui retenu au niveau mondial, à savoir: «Pour un monde digital inclusif: innovation et technologies pour l’égalité des sexes».
Deux allocutions ont été prononcées au cours de la rencontre des femmes de la C.r.c. Tout d’abord, Mme Jacqueline Nzenza née Ndombi a remercié les responsables départementaux de la C.r.c, «pour la réussite de la tenue de la première commémoration de la journée internationale des droits des femmes». «Les femmes de la C.r.c de Brazzaville ont retenu, en effet, cet espace de partage, pour faire avancer et développer notre société», a-t-elle déclaré.
Puis, le président départemental, Innocent Jean-Roger Mallanda, a loué la présence des femmes, car c’est «la preuve suffisante qui met en évidence l’intérêt grandissante que vous ne cessez d’accorder à l’épanouissement de la femme et au développement efficient du Conseil départemental de la C.r.c de Brazzaville, maillon sûr et efficace de notre société nationale». «L’implication de la femme volontaire dans les programmes humanitaires au Congo à l’étape de la poursuite des objectifs du développement durable fixés d’ici à l’an 2030 reste plus que déterminante, pour imprimer un nouvel élan d’animation des programmes dans nos différentes branches locales. La femme volontaire de Brazzaville reste l’espoir pour la renaissance de la crédibilité et de la visibilité de la C.r.c», a-t-il poursuivi. «Cet idéal épouse clairement, dans toute son entièreté, les aspirations profondes de la société nationale et de Monsieur le président national de la C.r.c, Christian Sédar Ndinga, qui ne cesse de nous exhorter à plus d’ardeur, de perspicacité et d’engouement», a-t-il souligné.
Les échanges sur le thème ont été un moment de communion s’appuyant sur la loi Mouébara portant lutte contre les violences faites aux femmes en République du Congo. Ce moment était très apprécié des femmes qui ont découvert, pour certaines, la loi, alors que d’autres ont souhaité que la sensibilisation soit intensifiée, afin de permettre au plus grand nombre de femmes de connaître la portée de la loi et les armes qu’elle donne à la femme pour connaître et revendiquer ses droits. Comme quoi, les femmes volontaires de la C.r.c sont, désormais, le fer de lance dans la prise de conscience de l’épanouissement de la femme.

Narcisse MAVOUNGOU

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