Les citadins du quartier Mikalou, dans le 6ème arrondissement, Talangaï, à Brazzaville, se sont réveillés, dimanche 6 novembre 2022, avec la nouvelle effroyable de l’assassinat d’un jeune ressortissant mauritanien, vers l’Institut Henri Lopès. Répondant au nom de Chérif El Moktar Bouya Ahmed, (26 ans), il était vendeur de pains dans un immeuble qui abritait une pâtisserie qui a fermé quatre jours avant e meurtre, en face de l’institut. Son ou ses assassins ont eu le temps de s’introduire dans la maison dont ils avaient les clés et d’accomplir leur acte ignominieux, entre 4h30 et 5h30 du matin, avant de disparaître incognito. La police a ouvert une enquête.
La victime aurait été égorgée. Mais, certains témoins avancent que le couteau laissé sur le corps étendu de la victime n’est pas l’arme du crime. Le jeune vendeur de pains aurait été assommé d’un coup de pavé violent à la tête. Sur la photo du corps allongé, on voit d’ailleurs un pavé à côté.
Les crimes crapuleux semblent se produire de manière intense dans le pays. Après Bétou, où un père de 54 ans a commis un effroyable infanticide, la semaine dernière, voilà qu’à Brazzaville, un jeune commerçant se fait assassiner dans un contexte qui paraît comme un règlement de comptes, suscitant une grande indignation dans le quartier.

U. NZ.

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