La ministre des transports, de l’aviation civile et de la marine marchande, Mme Ingrid Olga Ghislaine Ebouka-Babackas, nommée à la tête de ce ministère le 10 janvier 2025, après le remaniement du gouvernement, a visité, mardi 25 février dernier, deux structures sous tutelle, à savoir l’Inspection générale des transports et la D.g.t.t (Direction générale des transports terrestres). A la D.g.t.t, la ministre Ebouka-Babackas était reçue par le directeur général, Atali Mopaya, et elle a eu une séance de travail avec les cadres de cette direction générale et les représentants du personnel.
La visite de la ministre Ingrid Olga Ghislaine Ebouka-Babackas à la Direction générale des transports terrestres s’inscrit dans le cadre d’un management transformationnelle et participatif des structures sous tutelle. La ministre des transports, de l’aviation civile et de la marine marchande et la délégation de son cabinet ont d’abord visité l’Inspection générale des transports, qui a pour mission de veiller au bon fonctionnement des services de transport et procéder à l’état des lieux dans les directions générales, départementales et autres structures relatives aux transports.

Atali Mopaya, directeur général des transports terrestres

Sa visite à la D.g.t.t a revêtu un caractère particulier, comme le directeur général, Atali Mopaya, l’a exprimé dans son discours, lors d’une cérémonie organisée à cette occasion. «Votre soutien de la D.g.t.t dans la réalisation de ses programmes prioritaires sera d’un grand intérêt pour notre direction, afin de nous permettre de relever les grands défis de la sécurité routière prôné par le Président de la République dans sa vision du P.n.d 2022-2026 (Plan national de développement) qui fait du secteur des transports un piler de l’économie», a-t-il déclaré.
Abordé par la presse à l’issue de la séance de travail avec la ministre des transports, Joslin Banga, chef du Service circulation et sécurité routière à la D.g.t.t et secrétaire général du syndicat des transports terrestre, a plaidé pour la formation des cadres et agents ainsi que l’acquisition des équipements nécessaires. «Aujourd’hui, nous sommes à l’ère de la révolution numérique. Mais, on manque le matériel informatique dans notre administration. En dehors de ça, il y a la formation. Le personnel doit être formé, pour répondre aux besoins des métiers des transports terrestres», a-t-il affirmé.
Notons que plusieurs projets ont été réalisés par la Direction générale des transports terrestres et d’autres attendent encore. Il s’agit entre autres de: la lutte contre la falsification des documents de transport; la maîtrise du parc automobile; la réforme du permis de conduire; la poursuite de la digitalisation des services; l’opérationnalisation du B.g.f.t (Bureau de gestion de fret terrestre); la mise en place de la troisième plaque d’immatriculation gratuite; la gestion des centres de contrôle technique et la sécurisation des recettes publiques à travers les reformes en cours.

Roland KOULOUNGOU

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