H.a.l.c (Haute autorité de lutte contre la corruption)

Emmanuel Ollitta-Ondongo à la tête d’une marche anti-corruption à Brazzaville

La H.a.l.c (Haute autorité de lutte contre la corruption a organisé, samedi 14 décembre 2024, à Brazzaville, une marche anti-corruption, sous le thème: «S’unir avec la jeunesse contre la corruption: former l’intégrité de demain», dans l’objectif de marquer la Journée internationale de lutte contre la corruption, célébrée le 9 décembre de chaque année. Le lancement de la marche s’est fait par le président de la H.a.l.c, Emmanuel Ollitta-Ondongo qui avait à ses côtés les membres du bureau de la Halc, et Mme Antoinette Kébi, secrétaire exécutive du Conseil consultatif de la femme.

Dans les rangs des marcheurs, tous portant des casquettes et tee-shirts blancs sur lesquels on pouvait lire: «La corruption tue votre avenir, dites-lui non et oui à l’intégrité», il y avait les membres des structures de lutte contre la corruption, des cadres du système des agences des Nations unies, des responsables des structures d’encadrement de la jeunesse relevant du département ministériel en charge de la jeunesse et les jeunes des associations réunies au sein du Conseil consultatif de la jeunesse, et le secrétariat exécutif du Conseil consultatif de la femme.
La marche anti-corruption de la Halc
Des autorités en tête de la marche anti-corruption
L’animation à l’arrivée de la marche
Emmanuel Ollitta-Ondongo, président de la H.a.l.c
Encadrés par la force de l’ordre et accompagnés par une unité des sapeurs-pompiers pour des besoins de secours, les marcheurs ont suivi un itinéraire du rond-point de l’I.f.c (Institut français du Congo) en passant par la mairie centrale jusqu’à l’immeuble 5 février, et ils sont revenus à la place de la gare où la marche avait pris fin.
Sous l’animation de Germain Loubota, chef du Département de la prévention, sensibilisation et communication, la marche a attiré l’attention du public par les déclarations reprise en chœur: «Jeunesse congolaise», la foule répondait: «Non à la corruption; oui à l’intégrité». Ce qui faisait rire les marcheurs qui ne croyaient pas à l’efficacité de l’action. D’ailleurs, certains ont pensé qu’il fallait tenir cette marche dans les quartiers populaire, pour attirer l’attention des populations, au lieu de se concentrer au centre-ville, quartier pas populaire surtout les week-ends.
Pour sa part, Mme Antoinette Kébi, secrétaire exécutive du Conseil consultatif de la femme, a loué l’initiative, mais elle souhaite qu’après «la sensibilisation, il faut passer à l’action».
Narcisse MAVOUNGOU

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