Ministère des affaires étrangères, de la Francophonie et des Congolais de l’étranger
L’heure des sanctions, après le raté de la visite présidentielle à Abou Dabi, mais…
Cette fois, ça ne sera plus comme le raté du voyage présidentiel de 2017 aux Etats-Unis, où personne n’avait eu à rendre des comptes. Après les flottements de la visite de travail effectuée par le Président de la République, Denis Sassou-Nguesso, du 8 au 13 février 2024 (voir article précédent) à Abu Dabi, capitale fédérale des Emirats Arabes Unis où il a pu néanmoins s’entretenir avec son homologue, le Président Mohammed Ben Zayed Al Nahyane, des sanctions sont tombées au Ministère des affaires étrangères, de la Francophonie et des Congolais de l’étranger.
En effet, le secrétaire général du Ministère des affaires étrangères, André Poh, et l’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Congo en Egypte, qui a juridiction aux Emirats Arabes Unis, Célestin Akoulafoua, ont été relevés de leurs fonctions, par notes de service signées le 19 février, par le ministre des affaires étrangères, de la Francophonie et des Congolais de l’étranger, Jean-Claude Gakosso. L’intérim du secrétaire général du Ministère des affaires étrangères est assuré par Guy Nestor Itoua, actuel ambassadeur au Royaume Uni. Mais, ces deux décisions suscitent des interrogations car elles apparaissent comme l’arbre qui cachent la forêt.









