Il était l’image même de la miséricorde. Il l’est toujours et le restera. Il était plutôt porté par un jeu populaire et par la chimie dans son pays natal, jusqu’à ce qu’au cours d’une confession, il rencontre la voie de la Divine Providence. Il apprend alors la théologie et se fait créer prêtre dans la Compagnie de Jésus, Ordre de droit pontifical.
Son credo, c’est la justice sociale, la communauté et la solidarité. On pourrait même dire qu’il est le grand frère des pauvres. La fraternité et la miséricorde sont les principaux marqueurs de son règne. Il disait «la miséricorde de Dieu est notre libération et notre bonheur. Nous vivons de la miséricorde et nous ne pouvons pas nous permettre d’être sans miséricorde: c’est l’air que l’on respire. Nous sommes trop pauvres pour poser des conditions, nous devons pardonner, parce que nous avons besoin d’être pardonnés».
Et lui-même était très miséricordieux envers les frêles créatures de la Divine Providence. Et dans ce monde où nous sommes confrontés à plusieurs agressions des métaux, qu’il soit pour nous un avocat et qu’il «tourne vers nous ses yeux qui ne sont que miséricorde».
Prométhée

