Et ça continue, la grande vadrouille institutionnelle! Décidément, les réseaux sociaux sont devenus la courroie de transmission institutionnelle des vraies et fausses nouvelles. A écouter toutes ces nouvelles que véhiculent les réseaux sociaux, on se croit en grande vadrouille dans les méandres de céans. Il y a encore et toujours ce misérable voyeurisme qui consiste à divulguer les notes administratives. Il n’y a plus de confidentialité. C’est ainsi que l’on peut lire comment un ou une ministre prend des libertés avec la gestion des ressources humaines. C’est ainsi que l’on peut lire comment un ou une ministre peut trivialement s’adresser à un directeur général, comme s’il parlait à son enfant.
Les mêmes réseaux sociaux n’hésitent plus à diffuser des images immondes de toute «l’humanerie» de la Cité, avec des lynchages des bébés noirs, les règlements de compte en dehors de tout ordre judiciaire, les scènes sordides de femme qui pisse un cadavre et autres formes de dépravation des valeurs.
Ici et là, on rapporte que la progéniture s’étripe en bataille rangée les unes contre l’autre; et que même on recherche l’autre encore, une descendante de la reine de Saba, pour l’empêcher de se mêler des affaires de céans.
En réalité, la gestion des éphémères ressemble de plus en plus à la grande vadrouille autour du Maître des horloges. Il est vrai que cela lui permet de voir qui est qui et qui fait quoi. Mais, à force de gérer «a minima», il est à craindre que la grande vadrouille se transforme en désagrégation sociétale, tellement que le mal s’agrippe de plus en plus densement au corps social de céans.

Prométhée

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